Les chercheurs du laboratoire neurobiologique des processus adaptatifs de l’UMPC/CNRS ont mis en évidence le rôle majeur d’une protéine présente dans le cerveau, dans les pertes de la mémoire, la préséniline 1.
Cette dernière est présente en quantité croissante avec l’âge et est néfaste pour la mémoire. Cette découverte a été faite lors d’études sur la maladie d’Alzheimer . La surproduction de la « protéine de l’oubli », la préséniline 1, montre avec l’âge, que la personne soit atteinte de la maladie ou non, des anomalies de la plasticité synaptique et donc de la mémoire. La protéine agirait comme un neurotoxique.